mardi 4 décembre 2007

Erik, le ti louloup na moi


Kikou a toi erik, t un ti cheri damour, un pti bouchon qu'on trouve que rarement et qu'on aime a aimer t un louloup damour qui ce fiche des stereotype et qui aime la vie comme on aime le chocolat. lol et oui c'est levidence....





suite o prochaine episode lol a plus les louloup

moi,moi,moi lol o jvous enmmerde moi ok !!!!

Moi, Moi, Moi


et oui je maime et alor c koi le probleme jai bien le droit de maimer non ....!!!!

lundi 3 décembre 2007

jadore le sex i wanna fuck you

Depuis pas mal de temps, j'ai une douleur à l'épaule. Pas une grande douleur, mais un mal lancinant qui gène. Une de mes collègues m'a conseillé d'aller consulter son ostéopathe. Ne connaissant pas cette catégorie médicale, elle me donne quelques exemples de douleurs qui sont passées après quelques visites chez ce praticien. Par contre, ce n'est pas remboursé par le sécu.

Je me dis « pourquoi pas » et je prend rendez-vous. Par chance, un de ses patients vient de se décommander pour le lendemain, sinon il me fallait attendre 15 jours.

Le lendemain, à l'heure prévue, j'entre dans le cabinet où il n'y a qu'un grand bureau, ancien avec quelques papiers et de bazar, et une table d'examen comme chez tous les médecins.

La lumière est feutrée, et l'ambiance n'est pas celle que l'on trouve en général chez un toubib. Mais là, ce n'est pas un médecin comme les autres, d'ailleurs ce n'est pas vraiment un médecin.

Je m'assieds devant le bureau, et il note sur une petite fiche mes coordonnées et le problème qui m'amène. Cela fait, il se lève et me demande de le suivre.

Je vais vers la table et il me demande de me déshabiller. J'ôte ma chemise et m'allonge torse nu sur la table.

« Non, non, enlevez le pantalon aussi » me dit-il.

Je réponds un peu gêné, « mais c'est à l'épaule que j'ai mal ».

« Oui je sais, mais le principe de l'ostéopathie réside dans le fait que l'on traite le mal à distance ».

Je ne saisi pas bien, mais je suis un peu gêné car je porte toujours des strings, car je trouve ça plus confortable qu'un slip dont l'élastique remonte tout le temps sur les fesses. Et en y pensant, aujourd'hui j'en porte un qui est vraiment mini, très échancré devant et juste une fine ficelle derrière. En plus, je m'épile et il ne me reste des poils qu'au dessus de mon sexe, et je crains qu'il s'en aperçoive, car ma peau est bien lisse jusqu'à l'aine.

« C'est embêtant, car je n'avais pas prévu et je ne porte pas des sous-vêtements adapté ».

Il me réponds, « ne vous inquiétez pas, dans mon métier, je suis habitué à tout voir ».

Je sens mon visage devenir tout rouge de confusion quand je tombe mon pantalon. Il me regarde m'installer sur sa table et me complimente sur ce que je porte.

« Il n'y a pas de quoi être gêné, moi aussi je porte souvent des strings, et celui-ci est très beau ».

Sa réflexion, qui se veut décontractante, me donne l'impression que ma figure va s'enflammer, tant je rougis.

Il commence à palper mon corps un peu partout, tout en discutant, en m'expliquant que l'ostéopathie est avant tout un art et une philosophie de la santé qui permet de rééquilibrer le corps et de mieux l'harmoniser, etc.

Ses mains touchent et palpent, la nuque, les bras, les pieds, les jambes, le dos etc. Bref un peu partout. Il appuie, tire, masse, tord.

A un moment, il lève en l'air ma jambe gauche et la pose sur son épaule. Avec sa main, il masse le dessous de ma cuisse, du genou vers la fesse. Je me contracte car c'est un peu douloureux. Il me demande de me détendre et continue. Maintenant, il masse ma cuisse sur la partie interne, du coté du genou jusqu'à l'aine. Je sens le bout de ses doigts qui s'arrêtent dans le pli de l'aine, et je trouve qu'a chaque passage, il reste quelques secondes de plus à cet endroit. Je ne peux pas m'empêcher d'être troublé par cet attouchement médical.

Il me sort de mes questions en me reposant la jambe et en levant l'autre pour la même raison.

De nouveau je sens ses doigts s'arrêter dans le pli de l'aine, mais là, ils poussent un peu plus loin que tout à l'heure, et je sens le contact avec la peau lisse de mes couilles toutes proches.

Les idées s 'embrouillent dans ma tête et bien involontairement, je sens mon sexe qui commence à se gonfler. Je ne bande pas, mais ma queue à pris du volume. Je suis gêné et essaye de me concentrer sur un tableau horrible qui est au mur pour penser à autre chose.

Il repose ma jambe, et me dit que mon quadriceps est très tendu et qu'il va le masser pour le décontracter. Il s'enduit les mains d'une huile de massage et en verse sur la cuisse.

Il commence un massage énergique toujours de bas en haut. Il m'explique qu'il faut toujours masser ainsi, pour faciliter le flux du sang vers le coeur.

Plus il masse, plus ses doigts entrent en contact avec mon aine. Il me demande d'écarter un peu les jambes pour ne pas tacher le tissus. Une fois sur deux, le bout de ses doigts pénètre un peu plus sous le tissus, tout en continuant de discuter avec moi comme si de rien n'était.

J'arrive de moins en moins à suivre se conversation, et je sens ma queue qui monte vers mon nombril et qui rempli mon string. Je me dit qu'il ne peut pas ne pas s'apercevoir que je bande, et je doit être aussi rouge que le pot à crayons qui est sur son bureau.

Tout à coup, il me lance l'air étonné : « mince, je crois que j'ai mis un peu d'huile sur votre slip, je suis désolé. Il faudrait l'écarter encore un peu, pour ne pas le tacher plus ».

Tout en disant ça, il tire sur l'élastique au niveau de l'aine, et me demande de le tenir comme ça pour qu'il ne le salisse pas. Je tient l'élastique en l'air, et je m'aperçois bien qu'il doit voir une partie de ma queue dressée, mais je suis maintenant très excité et ce jeu commence à me plaire. 3 ou 4 massages après, ses doigts montent jusque sur la base de ma queue, plusieurs fois de suite Comme je ne dit rien, il va plus loin, et je sens ses doigts monter le long de ma cuisse, passer sur l'aine sans s'arrêter, et monter sur ma queue. Là, il laisse sa main dessus et recommence plusieurs fois de suite. Mon string est plein d'huile.

Il me dit « oh, j'en ai mis partout, il faut le tirer plus que ça ». Joignant le geste à la parole, il tire sur l'élastique et dénude complètement mon sexe.

« C'est mieux comme ça, non ? »

Je réponds un timide « oui » et il ne me masse plus la cuisse mais ma queue. Il découvre que je suis tout épilé et me complimente. Il me branle avec une grande douceur, et tout en changeant de main, il m'enlève mon string. Je suis entièrement nu devant lui, la queue prête à exploser, et il me caresse maintenant partout. Sa main pleine d'huile passe sur mon gland, caresse ma queue, mes couilles, et remonte jusqu'à mon anus. Son doigt huileux y entre sans aucun problème et fouille mon cul, puis deux puis trois doigts. De son autre main, il attrape un essuie-tout pour essuyer ma queue. Dès que c'est fait, il la prend dans sa bouche et me suce divinement. Je vois ma queue entrer et sortir de ses lèvres pendant que ses doigts me pénètrent le cul.

Pendant ce temps, je ne reste pas inactif et je lui défait son pantalon, et je m'aperçois qu'il porte lui aussi un string, que je baisse pour attraper son sexe, qui n'est pas très gros, mais qui est décalotté comme le mien. Rapidement, je passe des caresses manuelles aux caresses buccales. Il est debout à coté de moi et nous nous suçons mutuellement.

A un moment, il s'écarte, enlève son pantalon et son string, puis va vers son bureau, pour en revenir avec des préservatifs. Je comprends au il veut en venir, mais je ne suis pas trop inquiet, car j'ai l'habitude de me branler avec un gode entre les fesses. Par contre je n'ai jamais essayé avec une vraie queue.

Il enfile une capote et m'attrapant par les jambes, il m'amène au bout de la table, et place mes jambes sur ses épaules. Je me laisse faire, docile, et je sens son gland qui pousse sur mon petit trou. L'huile de massage aidant, il me pénètre sans aucune douleur ni aucun problème.

Rapidement, il est au fond de moi et me fait l'amour, comme on le fait à une femme, sauf que la femme, aujourd'hui, c'est moi. Il sort presque totalement de moi et entre de nouveau d'un seul coup, tout en me masturbant. Je le vois se tendre, et il jouit dans mon cul, heureusement au fond de sa capote.

Il se retire, enlève son préservatif, et me suce. Puis il m'enfile un nouveau préservatif, et me demande de me lever.

Il prend ma place et place lui même ses deux jambes sur mes épaules. Je me baisse un peu car j'ai envie de le sucer, même si sa queue est encore couverte de sperme. Alors que son sexe diminuait après avoir jouit, je le fait rebander. Et en même temps, je le pénètre avec mes doigts pour faciliter le passage.

Je me redresse et appui mon gland sur sa rosette. Ca rentre sans effort. Je suis bien dans ses entrailles, et je suis tellement excité, que je jouis en quelques aller et retour. Je reste en lui quelques minutes, en m'allongeant sur lui pour embrasser son torse.

Nous nous sommes séparés, non sans avoir pris un autre rendez-vous. Lorsque ma collègue m'a demandé le lendemain comment ça s'était passé, je lui ai répondu que c'était génial. Je n'ai pas menti !

Mike.

erotiko hum jadore

J’étais alors dans le train qui menait à Genève en partant de Paris, et il n’y avait personne dans le wagon dans lequel je me trouvais à part quelques anglais excentriques qui lisaient des revues pour adultes pendant que les autres dormaient; ils devaient être six…

J’ai remarqué d’ailleurs, et cela m’a amusé, à défaut de m’exciter réellement, qu’un jeune homme d’une petite vingtaine d’années aux cheveux teintés de toutes les couleurs, avait égaré sa main dans la culotte que serrait le jean d’une des petites anglaises qui l’accompagnaient, tous deux assis à l’écart de leurs copains…

Je souris, et le train s’arrêta à une petite gare de province… Alors mon regard se porta sur un jeune garçon d’à peu près mon âge, à la petite vingtaine d’années, qui allait monter dans le train, sac énorme au dos que portaient ses petits bras de mec bien foutu, barbe fine et cheveux bruns… Je commençais à me faire de jolis films, et je priai pour qu’il monte dans mon wagon… à l’avant du wagon, les anglais dormaient toujours mais le garçon avait arrêté de doigter la jeune fille, et elle s’était endormie sur lui.

Le garçon que j’avais en vue entra soudainement, passa les anglais, arriva à la partie des places par deux dans lesquelles je me trouvais, et souleva son sac de toutes ses forces pour le ranger… Son t-shirt blanc moulait parfaitement son corps et laissa entrevoir la ligne de poils qui descend du nombril au paquet, et cela me donna une érection légère… Son jean bleu ciel lui donnait des airs de camionneur, alors qu’il avait un visage des plus raffinés que j’aie pu admirer. Entourée par les poils bruns et courts de sa barbe, une bouche parfaite m’apparaissait, qui me donnait envie dingue d’y mettre ma langue ou plus encore.

Alors il s’assit à l’une de deux places opposées -par la largeur du train- aux miennes, et cela pour mon plus grand plaisir. Il était terriblement sensuel, sexy, tout ce que vous voudrez, et dans ma tête les films s’enchaînaient en même temps que le train repartait, enfin.

Je commençais à le mater furieusement et il le remarqua, alors il me sourit, et mon cœur s’accéléra… J’étais du coup totalement perdu. J’ai pourtant continué à le mater quelques minutes et il en profitait pour faire le beau. Ses gestes devenaient plus langoureux, il passait parfois une main derrière sa tête ou son pouce dans sa braguette ouverte, et cela me faisait bander. Je n’ai remarqué aucune érection de son côté car il devait avoir la queue relevée de façon à ce que son gland soit le plus proche possible de son nombril, voulant certainement, lui, cacher le phénomène. L’excitation me tordait le ventre quand le train s’arrêta dans une autre gare, les anglais descendirent, et un blondinet entra, 18 ou 20 ans, grand, élancé, pourtant viril, bandant -en somme-.

Il s’assit à deux rangs devant nous, à un compartiment pour quatre, et de cet endroit, il pouvait arriver qu’il voie notre jeu… Mais nous étions deux, lui était seul, il n’aurait rien dit, et à vrai dire il ne faisait pas complètement hétéro.

Je n’abandonnai pas pour autant d’échanger regards et attitudes sensuelles avec le brun, et il me fit un petit signe, indiquant qu'il aurait été intéressant de brancher à deux le blond, ce que nous fîmes. Il commençait à le regarder avec insistance mais rien ne se passait, alors il se leva et pendant que le train repartait déjà, il me fit signe de le suivre.

Et il m’emmena dans les chiottes, propres (elles venaient sans doutes d’être lavées) et suffisamment spacieuses pour deux personnes, de ce TER. Le blond se retourna sur son siège et nous regarda avec un regard doucement excité quand nous passions la porte, et je lui fis un signe de la tête, mais il ne bougea pas. Sûrement n’osait-il pas.

Je fus alors vite consolé quand mon beau brun me prit la bouche après avoir fermé la porte avec précaution… Sa barbe légère et travaillée avec précision et propreté me caressait le visage et sa langue chaude venait rencontrer tendrement la mienne. Il était doux comme un agneau et je bandais comme un fou, et lui aussi. Je lui mettais la main dans le pantalon pour tâter son petit cul ferme, et il me caressait le dos avec frénésie. Alors je sentis vraiment son sexe ferme contre le mien, séparés par nos jeans. Il devait faire 18 ou 19 cm, et ça me plaisait.

Lorsque l’on frappa à la porte, nous dûmes nous calmer et il demanda de sa voix grave que je découvrais alors : « Qui est-ce ? ». On nous répondit : « -C’est le blond de votre wagon… les mecs, je peux entrer ?.. » Et il entra avec précaution… nous étions un peu serrés tous trois dans ces chiottes mais déjà le blond vint se mettre entre nous, et le brun avait son cul contre son sexe, pendant que je commençais à lui rouler une pelle, et il savait y faire…

Alors pour ne pas mettre mon copain initial à l’écart, nous nous retrouvâmes tous trois bouches à bouches, et chacun goûtait tendrement aux langues des deux autres, puis nous enlevâmes nos t-shirts et jeans et à travers nos caleçons ou boxers, nous nous massions le paquet… Le blond me caressait les couilles, ayant alors mis sa main dans mon boxer et je commençais à branler leurs deux queues en même temps que nos baisers continuaient… Celle du blond se laissait aller tranquillement puis plus ardemment à mes va-et-vients, tandis que le sexe du brun commençait déjà à battre sous les pulsations de l’éjaculation en route. Alors je me suis arrêté un peu avant de les emmener au bout, et nous retirâmes nos derniers habits que l’on posa sur la cuvette fermée.

Nous étions tout nus, le corps du brun était parsemé de poils foncés sur tout son petit corps viril et ses poils pubiens étaient ondulés et nombreux, tandis qu’il fallait plus deviner ceux du blond, ou les caresser pour remarquer enfin cette fourrure légère et douce… Cela m’excita et je m’accroupis pour lui sucer la queue avec bonheur… Elle rentrait parfois tellement dans ma grande bouche que mon nez rencontrait parfois ses poils, et enfin, il poussa de petits cris, courtes respirations viriles, approchant le « han ».

Le brun nous matait en se masturbant pour s’occuper, et je donnai alors ma bouche à son sexe quand le blond éjacula d’un sperme chaud, et sa bite battait sous les pulsations de l’éjaculation. Et je léchais la queue du brun, remontant parfois à son gland rose et bombé, pendant que le blond avait trouvé un rangement en hauteur pour nos habits, et il s’assit sur la cuvette. Je vins m’asseoir sur lui et le brun n’avait pas encore éjaculé mais il semblait souffrir doucement sous les symptômes d’une éjaculation proche, ce qui se passa quand il me vit assis sur le blond en train de lui lécher un téton. Puis je l’embrassai amoureusement.

Je pris sa place sur la cuvette et il se mit par terre, à quatre pattes… et il y avait la place pour ça. Alors le brun comprit et prenant un peu de salive, il la disposa avec caresses sur l’orifice imberbe du blond, et commença à le pénétrer. L’autre poussait des soupirs longs et douloureux et l’autre soufflait d’une voix douce « Ho c’est bon » plusieurs fois de suite… Au bout de quelques minutes, le blond semblait parcouru de frissons agréables et il souriait à présent.

Tout à coup, tous deux s’excitèrent follement et je compris que le brun crachait son jus. Ils retombèrent à genoux, épuisés, se séparant et me regardant. Je me sentis un peu mis à l’écart mais tous deux prirent bien soin de moi, lorsque le brun, assis sur la cuvette, commença à me pénétrer ce qui me fit éjaculer au bout de plusieurs minutes sur l’épaule du blond qui avait juste eu le temps de retirer sa bouche de mon sexe.

Puis il reprirent tous deux, je sentis la queue énorme du brun battre en moi puis éjaculer: il poussa un cri et il s’accrochait avec ses bras à mes épaules et me tâtait le ventre et les pectoraux (que j’avais en jolie forme) pendant que le blond me caressait les cuisses puis les couilles en même temps qu’il jouait tendrement et fortement avec ma queue encore chaude et tendue à son maximum, et il devait alors se reculer un peu…

Tout cela continua encore de longues minutes lorsque 20h sonna, et le train devait arriver au quart à Genève. Nous nous rhabillâmes donc, fatigués et rassasiés et je me passai un coup d’eau. Il n’y avait pas eu d’arrêt depuis que le blond était monté, il n’y avait donc plus personne dans le wagon et nous n’eûmes pas de gêne alors à sortir tous trois. Personne ne nous attendait…

Sur le quai, enfin, je leur demandai alors où ils allaient… Tous deux resteraient sur Genève pour quelques semaines, nous échangeâmes alors nos numéros de téléphone pour nous revoir et nos cœurs battaient vite.

Gabriel.

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a vos lunettte mes ptites kekettte hisoitre de rimes mdr

J'ai perdu de vue Mimi (appelons-le ainsi), depuis plus de trente ans, au début de nos études universitaires. C'était mon copain d'enfance depuis la maternelle et, jusqu'au bac, nous avions tout partagé : confidences, promenades, lectures, dragues, argent de poche, joies et peines. Jamais nous n'avions eu de dispute, parce qu'il était enfant unique abandonné par son père et que je faisais, en quelque sorte, office de frère, de copain et parfois même de père. Pour cette raison, il n'y a avait jamais de heurts entre nous, chacun veillant à garder pour l'autre, un respect tacite. De mon côté j'étais d'un caractère indépendant, farouche, et son amitié m'apportait le soutien dont j'avais besoin, à chaque conflit avec les camarades de classe, au football ou dans la rue.

Mimi avait plus de finesse que moi, aussi bien dans les études, que dans la drague ou dans sa façon d’approcher les groupes adolescents. J'avais l'air plus costaud, un peu autoritaire et protecteur mais en réalité c'était lui qui menait notre... j'allais dire couple. Il savait parler aux filles, les apprivoiser, les séduire et les retenir. Moi j'étais, certes, réputé beau garçon, mais elles me craignaient, quand elles ne me fuyaient pas. Il m'avait appris qu'il ne fallait pas être exigent tout de suite.

Mimi me disait qu'il fallait s'entraîner sur les moineaux, ces oiseaux mi sauvages mi domestiques, si semblables aux femmes par leur comportement, vivant aux fenêtres des humains, dans les rues bordées d'arbres, mais se méfiant tellement des bipèdes. Alors je me suis mis à nourrir les moineaux à ma fenêtre, j'ai appris à les regarder longtemps sans bouger, sans même respirer. Il en est de même pour les femmes que pour les moineaux : il faut qu'elles oublient de se méfier pour tomber dans vos bras. Ensuite Mimi m'apprit que, lorsqu'on veut garder sa femelle, il faut rester gentil, commode, serviable tout en affectant d'être détaché, ne jamais manifester sa passion, même s'il elle vous brûle de l'intérieur.

Nous avions 19 ans tous les deux lorsque, pour mon anniversaire, il m’a offert L'art d'aimer d'Ovide, une lecture qui m'a marqué, que je comparais plus tard, alors que je poursuivais mes études de sciences politiques, à l'équivalent du Prince de Machiavel.

Mimi m'a appris que les femmes sont des êtres humains, identiques aux hommes, et qu'il ne servait à rien d'afficher son machisme. Mais il m’avait également enseigné qu'elles étaient d'une autre espèce et qu'il fallait toujours rester ''diplomate'', sachant que des hostilités peuvent surgir à n'importe quel moment, si on se laisse aller à découvrir, la moindre trace de machisme.

Cette complicité d'adolescents livrés à eux-mêmes, en rupture avec l'autorité parentale et en désaccord avec la société, avait fait de nous des hommes. Mimi a été ma famille, plus encore, mon double. Mais nos chemins devaient diverger. Mimi choisit une carrière militaire. L'ayant perdu de vue, j'avais perdu un précieux complice et un doux ami, plein d'humour et de gentillesse.

Un jour, par un hasard étonnant, je suis tombé nez à nez avec Mimi dans le hall d'une gare. Nous nous sommes tout de suite reconnus et, sans hésiter, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre en laissant tomber nos bagages par terre. Il m'embrassait et je l'embrassais très fort, puis nous nous sommes un peu calmé et sommes partis lentement vers le café d’à côté, en parlant nerveusement, la main dans la main. Deux longues heures nous ont permis de nous mettre à jour, après une séparation qui me semblait une éternité. Il venait de prendre sa retraite, libéré suite à un accident qui l'avait légèrement handicapé d'un pied. Nous nous sommes promis de nous revoir et de renouer de nouveau et je l'ai invité à venir me voir souvent à la fac où je travaillais.

Après l'avoir assailli de question, j'ai appris qu'il s'était marié avec une cousine lointaine qui lui a donné des enfants, mais il m'a expliqué qu'il avait cessé de ''courir les jupons'' puis, se mettant à rire, il me lança des propos assez ambigus et j'ai cru comprendre qu'il avait vécu de nouvelles expériences, d'un autre type. De plus, il a été si câlin, si caressant, si doux, qu'en rentrant chez moi, je me suis posé une foule de question et je me suis promis de le ''tester'' dès notre rencontre suivante.

Je soupçonnais mon ami d'enfance de s’être trouvé une nature de bisexuel. En effet, quand je l’ai revu, j'ai trouvé Mimi, toujours aussi câlin et doux. Il était chez moi, assis non pas en face mais à côté, ma main dans sa main. Il me parlait de ce qu'il avait fait, je racontais aussi ma vie depuis notre séparation, non sans une certaine gêne comme si chacun de nous voulait aborder un sujet trop délicat.

J'ai décidé alors de lui faciliter la tâche. Je me suis mis à dire que j'aurais aimé faire une carrière militaire, que la vie dans la promiscuité masculine m'aurait attirée, qu'une éducation à la spartiate offrait des joies et même des jouissances étonnantes, et bien d'autres choses dans le même genre.

Il m’expliqua que les femmes avaient fini par l'exaspérer, qu'elles le fatiguaient désormais, qu'il s'en était lassé. Mimi s'est alors épanché plus franchement, sa main en sueur me serrait les doigts plus fort et c'est ainsi que saisi par une soudaine audace, j'ai enlacé son cou et me suis mis à l'embrasser abondamment, sur les joues, sur les yeux, puis encore sur les joues, sur le menton et sur les lèvres, en insistant. Voyant qu'il ne me repoussait pas, j'insistai encore et encore, puis en mouillant mes lèvres avec ma langue, mes baisers se firent plus profonds jusqu'à vaincre, enfin, toute résistance pudique.

Maintenant nous nous aimons sans retenue, fiers de nous offrir l'un à l'autre, de vrais amants, heureux de leurs corps partagés. Nos langues s'entre lassaient et se nouaient dans nos salives mêlées, les mains de Mimi se promenaient sur mon dos, sur mes fesses, puis sur mes cuisses jusqu'à venir me tâter les couilles et le membre qui, flatté, prenait du volume en conséquence.

Nos caresses et nos baisers étaient, d'abord, guidés par la tendresse et l'amour dont nous nous étions sevrés tous les deux pendant longtemps et qui s'exprimaient enfin après ces retrouvailles brutales. Il était impossible de s'arrêter à ce stade tellement c'était beau, émouvant et... naturellement voluptueux. Nous voilà déjà nus, dans le lit, dans des ébats de quinquagénaires encore en bon état. Je découvrais le sexe de Mimi pour la première fois. Il a bien rempli ma bouche et déversé une première giclée chaude, au goût d'ail, qui est allée tout droit dans mon ventre. Je sentais cette lave blanche couler en moi lentement, jusqu'au fond de l'estomac. Je me suis mis ensuite à genoux, la tête contre le lit, les fesses ouvertes en l'air, en l'invitant à me dépuceler l'anus où jamais aucune verge n'entra, mais que j'ai exercé depuis longtemps, avec tout sorte de godes, durant de longues séances de plaisir solitaire. Je réalisais enfin l'un de mes fantasmes de branleur invétéré.

Mimi s'y était pris merveilleusement bien pour me pénétrer. Après avoir déposé, à l'aide de sa bouche, une rasade de salive sur la marguerite épanouie au fond de mes fesses bien rondes, il posa soigneusement le gland, en poussant légèrement avec son arrière train. ''Vas-y doucement, mon amour !'', lui disais-je, mais c'était surtout pour prononcer les mots ''mon amour''. Et lui, d'entendre cela, il soupirait d'aise et de bonheur et devenait si caressant, si doux et tendre, mais aussi si viril et si énergique. Sa verge aux dimensions respectables allait et venait en toute liberté au fond de ma cavité, grande ouverte maintenant. Son pubis et le haut de ses cuisses heurtaient mes fesses bombées et nous râlions de plaisir à l'unisson. Je lançais des ''oui'' et des ''encore'' et d'autres mots qui se perdaient dans le vertige délicieux qui m’enivrait. L'ardeur de Mimi était décuplée par l'inattendu de la situation, l'incroyable intimité qui nous a réuni et que jamais autrefois, nous n'aurions imaginée. Je hurlais: ''Mimi, mon amour, mon homme, mon maître, possède-moi, nique-moi encore... encore… je suis ta chose, ta salope, ta pute, nique-moi!..." Et Mimi de me donner la réplique, dans un jargon plus ou moins militaire qui ferait rougir une patronne de bordel de campagne. Ce fut si viril mais si tendre aussi que bientôt une seconde giclée de sperme chaud allait déferler en moi, par le bas cette fois. Quand Mimi s'est retiré de moi, ma cavité était en feu, copieusement endolorie, avec une sensation de brûlure sévère comme si quelqu'un m'avait donné une fessée pour calmer une agitation de gosse capricieux. J'étais comme un malade qu'on venait de guérir miraculeusement d'un mal pénible. Je venais d'éjaculer encore sans effort, je ne savais plus si j'avais joui de mon sexe ou de ma fosse postérieure. Plein de reconnaissance, je me suis jeté dans un profond sommeil dans les bras de mon amant. Mon amant si beau, si viril qui, de toute façon, ne me quittera plus longtemps, car il n'y a pas que le sexe qui nous lie mais je le garde pour son sexe, il est à moi.

laurent


C'est mon ti louloup na moi laurent ji tadore bpbcpbcpbc




commen il est bogossssss

vendredi 30 novembre 2007

Montage photos de mouuuuaaaaa.


















et oui j'adore faire des montage photos avec ma collection de photos hihihihhih....

jeudi 29 novembre 2007

The Simpson.


Le meilleur dessin annimé que je conaisse je le regarde tout les soir sur W9 . J'adore....

dimanche 18 novembre 2007

Les 30 ans de Jean-paul Gaultier


et oui 30 ans d'un createur hors norme qui le restera a jamais.

mercredi 14 novembre 2007

La plus grande Diva au Monde.


La plus grande Diva au Monde, celle qui nous feras toujour rêver quoiqu'il puisse advenir d'elle, ou bien même si nous ne la revoyons plus jamais sur scene ou a l'ecran, nous l'aimons quand même, elle incarne le rêve de beaucoup ainsi que l'espoir de beaucoup d'autres.



I Have Nothing / Je n'ai rien

Share my life
Take me for what I am
Cause I'll never change
All my colors for you
Take my love
I'll never ask for too much
Just all that you are
And everything that you do

Bridge:
I don't really need to look
Very much further
I don't wanna have to go
Where you don't follow
I won't hold it back again
This passion inside
Can't run from
myself
There's nowhere to hide

Refrain:
Don't make me close
one more door
I don't wanna hurt anymore
Stay in my arms if you dare
Must I imagine you there?
Don't walk away from me
I have nothing
Nothing
Nothing (if i don't have you)

You see through
Right to the heart of me
You break down my walls
With the strength of your love
I never knew
Love like I've known it with you
Will a memory survive?
One I can hold on to

Bridge:
I don't really need to look
Very much further
I don't wanna have to go
Where you don't follow
I won't hold it back again
This passion inside
I can't run from
myself
There's nowhere to hide
Your love I'll remember
forever

Refrain

Don't walk away from me, no
Don't walk away from me
Don't you dare walk away from me
I have nothing
Nothing
Nothing, if I don't have you
You, if I don't have you, oh, oo.


Partage ma vie
Accepte-moi telle que je suis
Car je ne changerai pas
Toutes mes couleurs pour toi
Prends mon amour
Je ne demanderai jamais trop
Juste tout ce que tu es
Et tout ce que tu fais

Pont:
Je n'ai pas besoin de chercher
beaucoup plus loin
Je ne veux pas avoir à aller
Où tu ne vas pas
Je ne vais plus retenir
Cette passion en moi
Je ne peux m'enfuir de
moi-même
Il n'y a nulle part où se cacher

Refrain:
Ne m'oblige pas à fermer
une autre porte
Je ne veux plus te faire de mal
Reste dans mes bras si tu l'oses
Dois-je t'y imaginer?
Ne t'en va pas
Je n'ai rien
Rien
Rien (si je ne t'ai pas)

Tu devines
le profond de mon coeur
Tu abats mes murs
par la force de ton amour
Je n'ai jamais connu
un amour comme le tien
Restera-t-il un souvenir
auquel je puisse m'accrocher?

Pont:
Je n'ai pas besoin de chercher
beaucoup plus loin
Je ne veux pas avoir à aller
Où tu ne vas pas
Je ne vais plus retenir
Cette passion en moi
Je ne peux m'enfuir de
moi-même
Il n'y a nulle part où se cacher
De ton amour je me souviendrai
toujours

Refrain

Ne t'en vas pas, non
Ne t'en vas pas
Je t'interdis de t'en aller
Je n'ai rien
Rien
Rien, si je ne t'ai pas
si je ne t'ai pas


INFO SUR LA CHANSON


Auteurs : David Foster et Linda Thompson

Parue : 1992

Album : B.O. Bodyguard


traduction

Partage ma vie
Accepte-moi telle que je suis
Car je ne changerai pas
Toutes mes couleurs pour toi
Prends mon amour
Je ne demanderai jamais trop
Juste tout ce que tu es
Et tout ce que tu fais

Pont:
Je n'ai pas besoin de chercher
beaucoup plus loin
Je ne veux pas avoir à aller
Où tu ne vas pas
Je ne vais plus retenir
Cette passion en moi
Je ne peux m'enfuir de
moi-même
Il n'y a nulle part où se cacher

Refrain:
Ne m'oblige pas à fermer
une autre porte
Je ne veux plus te faire de mal
Reste dans mes bras si tu l'oses
Dois-je t'y imaginer?
Ne t'en va pas
Je n'ai rien
Rien
Rien (si je ne t'ai pas)

Tu devines
le profond de mon coeur
Tu abats mes murs
par la force de ton amour
Je n'ai jamais connu
un amour comme le tien
Restera-t-il un souvenir
auquel je puisse m'accrocher?

Pont:
Je n'ai pas besoin de chercher
beaucoup plus loin
Je ne veux pas avoir à aller
Où tu ne vas pas
Je ne vais plus retenir
Cette passion en moi
Je ne peux m'enfuir de
moi-même
Il n'y a nulle part où se cacher
De ton amour je me souviendrai
toujours

Refrain

Ne t'en vas pas, non
Ne t'en vas pas
Je t'interdis de t'en aller
Je n'ai rien
Rien
Rien, si je ne t'ai pas
si je ne t'ai pas

mardi 13 novembre 2007

Vous voulez me connaitre alor lisez!!!!




1. Quelle heure est-il ?: 14H09
2 Ton prénom: simon
3. Ton anniversaire: 19/10
4. Signe du zodiaque: balance
5. Age: 20 ans
6. Un tatouage: no sa fait mal
7. As-tu déjà été amoureux(se)?: oh oui!!
8. As-tu déjà aimé jusqu'au point de pleurer?: oh oui!!!!!
9. Pepsi ou coca: si c light ok sinon va te grattt
10. Café ou thé: les deux
11. Tasse ou Mug: tasse c'est plus chic
12. Groupe de musique préféré: c'est pas un groupe lol, c'est une chanteuse mylene farmer and madonna
13. Ton site internet préféré: le mien http://vivafashionista.blogspot.com
14. Fleur préféré : l'orchidée
15. Sujet de conversation détesté: la politique ca me gave
16. Disney ou Warner: les deux
17. Fast food préféré: le chinois buffet a emporte a lanester
18. Un probléme: oui ta face de rat
19. Couleur préférée: celle qui me rende beau donc toutes
20. Comment te vois-tu dans l'avenir: important au yeux des gens comme d'hab
21. Des animaux à la maison: oui takis ma chiennne par procuration et baccara un chat percant.
22. Lequel de tes amis vit le plus loin: marie à rennes 1H30 quand meme

pas de 23 et 24

25. Amie(s)spécial(aux): mon portable pc et telephone
26. ami(e) de toujours?: marie
26. Que changerais-tu dans ta vie:mon corps
27. CD préféré: madonna et mylene
28. La première chose à laquelle tu penses au réveil: shooping
29. Tue l'amour: puer la transpi et avoir la queue qui pue le pipi
30. Quelque chose que tu as toujours avec toi et que tu n'as jamais quitté: mon porte feuille Louis Vuitton
31. Qu'y a t il sur tes murs : de la peinture
32. Qu'y a t-il sous ton lit: du lino

pa de 33 34 35 36

37. Que dirais-tu à quelqu'un en particulier mais que tu n'oses pas dire: c'est marrant comme ta tete va pas du tout avec ton corps
38. Sport favori: hahah ce qui me connaisse connaisse la reponse
39. Timide ou extraverti: extraverti
40. Ton surnom: vivafashionista
41. Langues parlées : francais, et la langue des jet setteur...
42. Un mot que tu aimes dire : l' alllu
43. Un message à quelqu'un en particulier: je t'aime meme si je doit me desunir de toi
44. Tu aimerais qu'on t'offre des fleurs à ton anniversaire: oui une orchidée
45. Qu'est-ce que tu voudrais pour ton anniversaire: la tt de suite une psp noir, sinon changé d'apparance
46. Opel ou Seat: opel (tigra comme celle dans laquelle je monte tt le tps celle de mon cheri )
47. Sucré ou Salé : les deux a sa jsute valeur
48. Lieu favori: dans mes reves
49. Citation favorite: non mais attend tu te fous de ma geul la jespere ...
50. Lèche-vitrine ou lèche-écran: vitrine et non rien...
51. Qu'est ce que tu lis en ce moment: ben la rien gogol jrepond au questionnaire
52. Heure de fin: 14H19

Jacque à dit


Ne meurs pas, ne me laisse pas....

Paroles: Zazie. Musique: Zazie, Jean-Pierre Pilot, Olivier Schultheis 2007 "Inventaire"
© Vogue (Sony B.M.G.)


Je suis un oiseau
Qui est tombé de haut
Je traîne ma peine
Une larme qui coule
J'ai dans la gorge une boule
Comme une pierre qui roule
Perdue l'innocence des jours
Passés dans la cour de l'école
Du bonheur, j'en ai pas
Y en a que pour Pierre et Paul

{Refrain:}
Jacques a dit : "Cours"
Jacques a dit : "Vole"
Mais pas le jour où je décolle
Jacques a dit : "Cours"
Jacques a dit : "Aime"
J'ai beau t'aimer, tu pars quand même
Jacques a dit : "Marche"
Jacques a dit : "Rêve"

Me fait tant marcher que j'en crève
Jacques a dit : "Certes, je lui pardonne"
Jacques est un rêve, pas un homme

Reste
Une mélancolie cachée
Sous mon manteau de pluie
Qui traîne encore
Je ne sens plus le vent dans mes voiles
Dis-moi à quoi me sert mon étoile
Si je perds le Nord ?
Mes îles, je les ai méritées
Mes ailes, je les ai pas volées
J'ai tout fait comme tu m'as dit
Mais le rêve s'évanouit

{au Refrain}

Jacques a dit, certes, des tas de choses
Mais sur la vie, pas toutes roses

Jacques ne dit pas tout
Jacques ne dit mot
Jacques ne sait pas ce qu'on vit
Jacques ne sait pas que c'est tout gris

Jacques a dit : "Cours"
Jacques a dit : "Aime"
J'ai beau t'aimer, tu pars quand même
Jacques ne sait rien de la vie

Jacques a dit : "Marche"
Jacques a dit : "Rêve"
Me fait tant marcher que j'en crève
La vie, c'est tout gris

Jacques a dit : "Bois"
Jacques a dit : "Mange"
Moi j'ai grandi, mais rien ne change
Jacques a dit : "Vague"
Jacques a dit :"S'cours"
Mais ne connaît rien à l'amour
Jacques a dit : "Chante, c'est une vie"
Moi je déchante peu à peu
Jacques a dit : "Certes, je lui pardonne"
Jacques est un rêve, pas un homme.

Quelques paroles de musique


La philosophy des choses n'est parfois pas ce que l'on pense.!!!

Paroles: Bonvent- Koxie - Mazin. Musique: Koxie 2007
© Universal Music

Tout à l'heure
Je roulais sur mon scooter dans Paris
D'une voiture, au feu rouge, un mec me dit :
«Eh madame il est quelle heure ?»
Je lui réponds : «Midi»
Il me dit : «Madame qu'est ce que t'es bonne !
Tu veux pas m'faire une gâterie ?»
Ses potes rigolent
Sur le moment j'ai pas compris
Je réponds : «Mon grand,
C'est pas comme ça qu'on parle aux gens
Tu n'aimerais pas qu'on parle comme ça à ta maman»
Le mec me r'garde
Avec une tête de chien d'garde
Il m'fait : «Vas-y parle pas d'ma mère ou j'te défonce»
J'lui réponds : «Du calme Alphonse !
J'te connais pas, tu m'agresses
C'est quoi ce manque de délicatesse ?
On t'a pas dit d'traiter les femmes comme des princesses ?»
Il me dit : «Ouais, mais toi j'te baise !»
Je lui dis : «Ben nan justement
C'est bien ça l'malaise»
Tu sais que...

{Refrain, x2}
Garçon
Si t'enlèves la cédille
Ça fait gar-con
Et gare aux cons ma fille
Gare aux cons
Gare aux cons
Gare aux cons
Qui perdent leur cédille
Di di doum
Di di dam
Di di di di di di

J'continue mon chemin
Au feu suivant
J'entends : «Hé grosse cochonne !
Quand tu veux j'te prends»
C'est encore Alphonse avec sa tête de gland
Je lui dis : «Là tu t'enfonces, c'est indécent
J'y crois pas, mec, redescends d'ta planète
Tu t'prends pour Tony Montana
T'as même pas d'poils sur la quéquette !»
Il m'dit : «Vas-y, sois pas vulgaire
Tu vas voir où je vais t'la mettre !»
Je lui dis : «C'est moi qui suis vulgaire ?
Non mais là c'est la fête !
Je rêve, pour qui tu t'prends ?
Maintenant tu t'arrêtes !»
Je descends, il descend,
J'dis : «C'est l'bordel dans ta tête !
Qu'est-ce que tu comptes faire ?
Là t'es en galère, j'veux des excuses
J'attends, et j'lâcherai pas l'affaire»
Il me dit : «Nan, toi tu t'excuses
Espèce de vieille sorcière !»
«C'est la meilleure je t'ai donné l'heure,
J'aurais mieux fait d'me taire»
Tu sais que...

{au Refrain, x2}

Voilà comment parlent certains garçons
Quelle honte !
Ils mériteraient une bonne leçon
Tu veux jouer ? On va jouer
J'lui dis : «Baisse ton caleçon
Tu parles beaucoup, ça manque d'action
Tu m'as demandé ? Une fellation ?»
Tout à coup Alphonse a une révélation
Il renonce et me dit :
«Ouais, vas-y c'est bon !
Lâche-moi, pardon»
J'lui dis : «C'est bien
Là, t'as l'air moins con,
C'est pas normal d'avoir besoin
D'parler aux femmes de cette façon
Y a un sérieux problème d'éducation
Pourtant j'suis sûre que t'as un bon fond»
Il me dit : «T'as raison j'me sens tout bidon
C'est mes potes qui m'poussent, j'ai la pression !»
Je lui dis : «C'est bon, pleure pas !»
Il manquait plus qu'ça
Alphonse qui fond en larmes dans mes bras
Tu sais que...

{au Refrain, x2}

lundi 12 novembre 2007

photos,photos.














Alegria.

Pause musique , je vous conseille de trouver la chanson du cirque du soleil Alegria c'est une magnifique chanson qui vous transporte loin tres loin ou le reve devient realité.

Paroles Alegría Cirque Du Soleil

Artiste: Cirque Du Soleil
Chanson: Alegría

Alegria
Come un lampo di vita
Come un pazzo gridar
Alegria
Del delittuoso grido
Bella ruggente pena
Seren
Come la rabbia di amar
Alegria
Come un assalto di gioia

Alegria
I see a spark of life shining
Alegria
I hear a young minstrel sing
Alegria
Beautiful roaring scream
Of joy and sorrow,
So extreme
There is a love in me raging
Alegria
A joyous, magical feeling

Alegria
Como la luz de la vida
Alegria
Como un payaso que grita
Alegria
Del estupendo grito
De la tristeza loca
Serena
Como la rabia de amar
Alegria
Como un asalto de felicidad
Paroles Mania

Les PD.


Suite avec les photos de jeune hommes nu ou non pour les plaisir du calecon lol dsl les minetttes jsui pd mdr..

L'homoséxualité.


Et oui nous les PD on a le droit de vivre et d'exister comme n'importe quels hetero de base que nous voyons au coin des rue c'est pourquoi je vais m'attarder sur des photos et des commentaires de ma part sur les gays ainsi qu'une video tres choquante que vous trouverez sur se site sur l'histoire de deux freres dont un gay qui ne l'a jamais di sauf quand l'ainé decide de violé un homo lors d'une raffle dans une rue frequenté par des gay.... a vous de juger mais avant le malheur et le choc d'abord la beauté de jeune effèdres nu ou presque nus pour le plaisir des yeux et du calecon.. pour certain.

Aroma..

Un des nouvelle choses auquelles je me suis intéréssé, avec plus de proondeur lol c'estles huiles essentiels et oui un moyen " biologique" pour prendre soin de: ses cheveux, sa peau, sa nourriture, et son interieure...

Chantal Thomas, création.

La plus grande Créatrice de lingerie fine et feminine regarder et admirer: 1er photos Chantal T en personne, et 2nd photo une de ses création...




dimanche 11 novembre 2007

Live to tell. Madonna.

I have a tale to tell
Sometimes it gets so hard to hide it well
I was not ready for the fall
Too blind to see the writing on the wall

A man can tell a thousand lies
I've learned my lesson well
Hope I live to tell
The secret I have learned, 'till then
It will burn inside of me

I know where beauty lives
I've seen it once, I know the warm she gives
The light that you could never see
It shines inside, you can't take that from me

A man can tell a thousand lies
I've learned my lesson well
Hope I live to tell
The secret I have learned, 'till then
It will burn inside of me

The truth is never far behind
You kept it hidden well
If I live to tell
The secret I knew then
Will I ever have the chance again

If I ran away, I'd never have the strength
To go very far
How would they hear the beating of my heart
Will it grow cold
The secret that I hide, will I grow old
How will they hear
When will they learn
How will they know

A man can tell a thousand lies
I've learned my lesson well
Hope I live to tell
The secret I have learned, 'till then
It will burn inside of me

The truth is never far behind
You kept it hidden well
If I live to tell
The secret I knew then
Will I ever have the chance again

Rêver.

Le rêve est parfois la meilleur façon de s'enfuir' d'aller ailleur sans forcment bouger phisyquement souvent l'on associe le rêve a fantasme et le rapport est juste dans nos rêve les plus fous nous voyagons dans des mondes personnels et artificiel ou notre malheur n'est plus mais ou le voyage est grand..



D'avoir mis son âme dans tes mains
tu l'as froissé comme un chagrin
et d'avoir condamné vos différences
nous ne marcherons plus ensemble

Sa vie ne bat plus que d'une aile
dansent les flammes, les bras se lèvent
là où il va il fait un froid mortel
si l'homme ne change de ciel pourtant, j'ai rêvé

j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
au souffle du vent
s'élevait l'âme, l'humanité
son manteau de sang
j'irai cracher sur vos tombeaux
n'est pas le vrai, n'est pas le beau
j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer

à quoi bon abattre des murs
pour y dresser des sépultures
à force d'ignorer la tolérance
nous ne marcherons plus ensemble

les anges sont las de nous veiller
nous laissent comme un monde avorté
suspendu pour l'éternité
le monde comme une pendule
qui s'est arrêtée



j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
au souffle du vent
s'élevait l'âme, l'humanité
son manteau de sang
j'irai cracher sur vos tombeaux
n'est pas le vrai, n'est pas le beau
j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer

{Refrain x2}

j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
j'avais rêvé du mot AIMER

vendredi 9 novembre 2007

Hermes.




La magnifique breloque de chez Hermes pour la modique somme de 330 euro .

jeudi 8 novembre 2007

Quand...


Quand nous somme perdu nos regardons souvent le ciel pour y appercevoir une reponse qui parfois nous est bien plus proche que l'on ne pense mais nous n'ouvrons pas asser les yeux pour cela .

Benjamin De Roche


R.A.S

Marie et moi


Photo prise par elle meme.

Marie, ma best friend là depuis si longtemp.


Une photos d'elle sans texte elle ne peut etre presentée sa photos suffit largement .. jtim ninure


mercredi 7 novembre 2007

Sonia lacen le rêve d'un homme bo vercingetorix.

Message de Mylene.


Mylene is calling...

Robe portée par la sublime Mylene farmer .



Robe du grand createur de mode, John Galliano le grand nom de Dior couture.

Retouche photos encore et toujours


Et oui j'ai de nouvelle photos de MF mais aussi un logiciel de retouche photos mdr donc je pe les mettre en noir et blanc pour que toutes leur valeurs ressorte puisque tt le monde sait que le noir et blanc est un moyen de redecouvrir l'âme des gens ainsi que leur véritées.... et oui pensez-y...!!!

Demonologie.

Stigma Diaboli - Liste des démons

Stigma Diaboli - Site culturel sur les légendes démoniaques

Stigma Diaboli - Site culturel sur les légendes démoniaques: "Bibliographie Démoniaque ou le 13e rayon d'une bibliothèque maudite Bodin Jean : Démonomanie des sorciers (Paris, 1580) Boguet Henri : Discours des sorciers (Lyon, 1610) Colin de plancy : Dictionnaire infernal (Paris, 1825) Huysmans joris karl : là-bas Huxley aldous : les Diables de Loudun (1952) Michelet : La Sorcière Migne : Dictionnaire des sciences occultes, (1846) Villeneuve roland : Dictionnaire du Diable; (Bordas 89) Wier jean : De Praestigiis Daemonum (Bâle 1568)"

Un peut d'histoire et de culture.

Un Démon:
est, être surnaturel, esprit ou force capable d'influer sur l'existence humaine, généralement de façon maléfique. Le démon est présent, sous des formes diverses, dans la plupart des religions. Il appartient également au vocabulaire de l'occultisme et constitue un thème mythologique et littéraire. L'étude des démons est appelée démonologie. L'exorcisme, qui consiste à délivrer un individu ou un lieu d'un démon qui le possède, a été pratiqué dans de nombreuses religions.
La croyance aux esprits du mal et à leur capacité d'agir sur la vie des êtres humains est très ancienne.Bien que la croyance populaire aux démons et aux esprits du mal n'a cessé de décliner depuis le XVIII ème siècle, elle demeure toujours ...

Les Vampires

Intro :
Le vampire est de nos jours considéré comme un monstre très élégant à cause des livres et des films. Mais en réalité, c'est plutôt une légende puisqu'on le retrouve dans la mythologie, il ya des siècles de cela. Posons-nous cette quesion : Qu'est-ce réellement qu'un vampire ? Le cinéma nous en a déjà donné une bref description souvent altérée : ses points forts et faibles. En fait, "c'est un mort-vivant qui se nourrit de sang pour assurer son immortalité".


Les origines :
Le vampire est relaté dans beaucoup de mythologies antiques. Elles disent que d'infâmes créatures aiment boire du sang humain. On trouve une grande quantité de legendes sur les vampires dans le monde entier. Dès le XI ème siècle, on raconte que des morts quitte leur tombe et attaquent divers individus. Du fait que le sang est la vie en quelques sortes, au XIV siècle, l'expression vampirisme se répend en Europe. Au XVII ème siècle, les superstitions se répandent dans le monde entier. C'est au XVIII ème siècle que va se produire ce qu'on appelle de nos jours "l'épidémie vampirique". Tous les journaux en parlent en Europe. Des chasses vont être organisées. Au siècle des lumières, des superstitions vont faire peur aux gens. Beaucoup d'articles sont parus ce qui entraine un gran émoi. Les pays touchés doivent faire des enquêtes complètes et des phénomènes seront inexpliquables. L'existence du vampirisme va être officialisée. Le vampirisme devient un sujet à la mode dans les salons de l'époque et avec beaucoup de sérieux. Certains auteur très connu comme Voltaire et Rousseau en parlent. Le terme vampire est reconnu en 1732. Le vampire est un mort qui ne s'altère pas. Il est parfois changé de position dans sa tombe et il sort parfois du sang de sa bouche. Cependant il n'a pas de grandes dents, il suce le sang de ses victimes. Certaines légende parlent de pieu, etc... afin de le tuer définitivement et parfois pour qu'il n'y est pas contagion. On parle de contagion car tout ceci c'est produit pendant la peste,... A la fin du XVIII ème siècle, l'importance du vampirisme du fait du rationnalisme du siècle des lumières. Quelques discussions apparaîtrons sur le vampirisme au siècle suivant, mais sans grande importance.

Le vampire en littérature :
Certains poêtes du XIX ème siècle écrivent des poèmes ou ils parlent de morts quittant leur cercueil pour rejoindre leur bien-aimée.
Le vampire littéraire est vu comme ayant la faculté de séduire et attirant, c'est à dire le contraire de ce qu'il est pour les gens. La femme vampire, elle est vue comme une beauté fatale.
Le premier vrai roman est "Le vampyre" de Dr John William Polidori datant de 1819.
Le théâtre parle du vampire. C'est A. Dumas qui essaiera mais sans grand succès. C'est lorque Dracula (Bram Stoker) arrivera que le vampirisme prendra de l'ampleur en littérature. Tout y sera copié avec des nuances. Le vampire deviendra nocturne, polymorphe, craignant l'ail, .... Mais B. Stoker c'est lui inspiré de légendes et histoires non-reconnues. L'originalité réside dans le fait qu'il est parti d'un personnage historique : Vlad Dracula (voir section vampire régulier). "Dracula" est un roman gothique anglais (cryptes et châteaux) mais aussi actuel. (psychiatrie : voir syndrôme Renfield, transfusion sanguine). "Dracula" a eu un grand succès car on y trouve le triomphe du mal. Le livre joue sur les pulsions du lecteur. Par la suite, beaucoup de théâtres ont repris ce roman de "Dracula". C'est ensuite le cinéma qui s'en ait emparé ainsi que divers auteur. On peut dire que Dracula a connu un franc succès.

La réalité :
Le Dr Dolphin pense que le mythe du vampire aurait été inspiré d'une maladie héréditaire du sang, la porphyrie, maladie très rare qui est favorisée par les vases clos génétiques que sont les régions reculées. Cette maladie entraine une photosensibilité de la peau et provoque de bizarres effets chez ceux qui en sont atteints. La personne prend de grands risques en restant au soleil : il provoque une grave atrophie de la peau. On a découvert que l'usage de la saignée est bénéfiques aux malades. Leur dents se déforment également, ... Des drogues provoques des crises de porphyrie et l'ail contient cette substance. Certains malades boivent du sang dans des régions reculées. D'où la naissance du vampirisme mais des gens ont très mal réagit à cette théorie.
Certains symptômes de la peste peuvent faire penser au vampirisme.
Il y a aussi des vampires humains tels ceux qui boivent du sang animal et même humain parfois afin de rester en bonne santé et de rester jeune. (Louis XI, pape Innocent VIII, compte Charolais et comptesse Ersébeth Bathory : voir plus bas). On a aussi dans les années 50, en Angleterre, John Haigh : le vampire de Londres, qui a tué 9 personnes afin de consommer leur sang.
La fixation sur le sang est appelé Hématomanie. des spécialistes racontent qu'à peu près 50000 personnes aux Etats-Unis pouraient être "atteint de vampirisme". Ceci commence pendant l'enfance ou l'adolescence. Beaucoup disent que le sang est besoin, que ça leur provoque du plaisir, force vitale, jeunesse, qualités de l'autres, ... (Mais ce sang n'est pas absorbé).

Vampires sanguinaires et psychiques :
Vampires sanguinaire: ce sont des gens qui ont besoin très fort, celui de consommer du sang. Il y a deux catégories : ceux qui en ont besoin pour survivre et ceux qui ne peuvent se passer de son goût.
- Le vampire sanguinaire volontaire. Il aime le goût du sang des humains. Pour cela, il mord par plaisir sa victime ce qui le fait on pourrait presque dire : "jouir", mais il ne leur prend pas tout leur sang. C'est comme une drogue.
- Le syndrôme de Renfield. C'est ce qui pousse le vampire à boire du sang. Cela peut arriver dès l'enfance alors que celui-ci ne sait pas trop ce que c'est, en se coupant par exemple, il va éprouver du plaisir à sucer son sang. On pourrait parler d'auto-vampirisme. Mais certains préfèrent les animaux au tout début : c'est ce qui s'appelle zoophagie. On ne sait pas vraiment pourquoi mais ceux-ci préfèrent les chiens et les chats. Certainement parcequ'ils les aiment... Néanmoins, certains vont aller trop loin : ils vont aller voler dans les hôpitaux du sang ou s'introduire dans des lieux de don de sang. A ce niveau certains vont dérailler et commettre des meutres. Certaines de ces affaires sont répertoriées.
- Le vampire régulier. C'est celui que tout le monde connaît grâce aux films. Il passe maintenant pour un monstre. Il a besoin de sang pour survivre. On ne sait pas pourquoi, ni si c'est dans sa tête, ni si s'est son organisme.
Son origine peut s'expliquer ainsi. Bram Stoker a crée Vlad Tsepesh Dracula, en se référant à Vlad Dracula surnomé l'Empaleur. C'était un aristocrate noble; il étatait aussi officier. Raymond McNally (historien) a dit qu'il était très sadique. Cela se passe au XVème siècle en Roumanie dans un endroit appellé "La forêt des empalés". Connu pour ses horreurs, Vlad Dracula avait transpercé près de 30000 hommes à des poteaux. Une mort impitoyable car certains ne mourraient qu'après quelques semaines. Son but était de faire peur au général turc Mohammed II. Lorsque le général a décidé d'en finir avec se tyran, il a vu "La forêt des empalés" et a renoncé. Des rumeurs disent que Dracula prenait plaisir à manger dans cette forêt. Il trempait son pain dans le sang de ses victimes. Le véritable Dracula est loin de l'idée que l'on c'est forgé de lui mais aimait le sang...
En transylvanie, les gens croyaient aux vampires et toujours à notre époque. Pour eux c'est un mort-vivant, il est immortel, adore le sang humain, elle peut lire dans les pensées et son image ne se reflète pas dans un miroir. Cependant, il est vulnérable au crucifix, à l'eau bénite, à l'ail; la lumière du soleil l'enflamme; seul un pieu dans le coeur le réduit à néant. Mais ce ne sont que des croyances de ces individus dont on c'est servi dans les films et livres. Pensez en ce que vous voulez.
Pour ces gens, il faut exhumer le mort pour savoir si c'était un vampire. Si du sang sortait des lèvres du mort et que le cadavre avait grossi, c'était parceque celui-ci avait bu du sang. Les signes de vampirismes se révèlent trois jours après la mort, la peau reste rose et souple. Dans ce cas, ils enfonsent un pieu dans le coeur du cadavre jusqu'à la terre pour qu'il reste au sol pour toujours. Les habitants ont peur des vampires alors ils ont cherchés par tous les moyens des armes contre eux. L'ail vient du fait que les cadavres ont une forte odeur, d'où le remède.
La comptesse Erzébeth Bathory. Au XVIème siècle en Hongrie, cette comptesse prenait plaisir à des jeunes filles vièrges pour prendre des bains de sang et parfois même le boire. Elle voulait reste belle et jeune. En 1611, elle est accusée d'avoir saignée des jeunes filles de la région. Elle en aurait tué dans les 300. Cela a duré dix ans où les jeunes filles étaient enchaînées, puis torturées avant d'être saignées. Elle a été arrêter grâce à des rumeurs qui circulaient car on avait remarqué beaucoup de disparitions. C'est son cousin, Gyorgy Thurso avec une armée de soldat qui a envahit le château et ont découvert des massacres tout frais. Des jeunes femmes sont découvertes enchaînées attendant leur tour. Elle n'a pas été tuée mais est restée enfermée jusqu'à sa mort dans un cachot. Le château, lui est maudit. On raconte qu'après sa mort (rumeurs ou légendes), que la comptesse serait devenue un vampire et continuerait ses horreurs. Toutefois, elle n'a pas été la seule à faire ceci...
Les vampires psychiques: Ils peuvent vider l'énergie en toutes parties de ses formes. Ils mettent en valeur ainsi leurs énergies mentales et physiques qui nourrit les vampires réguliers. Un vampire psychique peut l'être ou non mais ils peuvent vider les autres vampires de leurs force d'énergie, c'est à dire qu'un tel vampire peut vider une personne de ses émotions, pensées, force vitales-mentales-physiques. Un peu moins de la moitié de ces vampires le font sans le faire exprès. Tout le monde connaît ou connaitra une de ces personnes : vous vous sentez toujours las dès qu'ils partent. L'autre partie le fait volontairement soit par amour du jeu soit par développement depuissance.
Les volontaires. Ils sentent ceux de leur race et les attaquent mentalement pour voir leur réaction. Aimant la chasse et les défits, ils essaient de bloquer le pouvoir de l'autre. On en arrive à une lutte mentale, grâce à leur énergie. Ils sont vus comme des négatifs. Une majorité des vampires psychiques blesse leur victimes par l'énergie et ne le savent même pas. Ils peuvent donc entrainer la mort d'un être faible, qui est malade. Pour eux, il y a une 2ème mort, celle du corps astral, après celle du physique. Il essaie donc de puiser ses forces dans l'énergie physique de ces combattants et peut ainsi survivre et rester immortel. Le corps astral de ces vampires, si son énergie est suffisante, il serait alors libéré et continuerait à aspirer l'énergie de différents corps astraux et physiques afin de gagner la vraie immortalité.
Les involontaires. Ils vident leurs proche inconsciemment de toute leur énergie. Il est comme une exception, anormal. L'énergie qu'ils aspirent ce fait automatiquement par leur corps astral dans le but de survivre.
Les vampires psychiques sont dominateurs, contrôleurs, charmeurs. Ils ne sont jamais seul et influencent les gens qui les entourent. Ils éprouvent des sentiments. Ils aiment la nuit.
Le symbiotique. Ce sont des vampires qui prennent l'énergie spirituelle de l'électro-bio-produit chimique récupéré dans l'aura de la personne. Il est connu pour vider les énergies négatives. Ils sont donc considéré comme positifs car il le font intentionnellement. Les symbiotiques peuvent être des humains; et on s'en rend pas compte car la victime se sent plus en forme.
En fait, les vampires psychiques et les symbiotiques ne sont pas de vrais vampires par il n'y a pas de sang en jeu. Une majorité de ces individus sont des êtres humains et sont donc des mortels.

Conclusion :
De nos jours plus personne ne croit aux vampires, bien que des humains un peu vampire vivent en notre compagnie. L'épidémie de vampires du XVII est maintenant révolue. Toutefois, en 1970, à Londres, il ya eu une fameuse affaire de vampires qui a fait du bruit. Des gens affirmes avoir été attaqués près du cimetière Highgate par un vampire. Le public a très vite réagit et des gens ont pourchassé ce vampire mais il y a eu des affaires de justice...
Les gens sont séduit par son pouvoir de force et d'immortalité. A cette époque, il y a encore beaucoup de surperstitions et on doute toujours sur son existence...



Bibliographie Démoniaque ou le 13e rayon d'une bibliothèque maudite

Bodin Jean : Démonomanie des sorciers (Paris, 1580)

Boguet Henri : Discours des sorciers (Lyon, 1610)

Colin de plancy : Dictionnaire infernal (Paris, 1825)

Huysmans joris karl : là-bas

Huxley aldous : les Diables de Loudun (1952)

Michelet : La Sorcière

Migne : Dictionnaire des sciences occultes, (1846)

Villeneuve roland : Dictionnaire du Diable; (Bordas 89)

Wier jean : De Praestigiis Daemonum (Bâle 1568)

Sorcellerie

Là il n'y aura pas de photos puisque la sorcellerie n'est que spirituelle donc quelques sortilèges tres facile a réaliser mais attention il ne faut pas l'utilisé a des fin personnelles et oui quoiqu'il arrive fait attention sur ce sujet car la magie n'est pas un jeu mais un don.

Rituel du pouvoir :

Allez dans une forêt à l'est de votre demeure, au milieu du jour et trouver un arbre fourchu. À la base de cet arbre, au nord stérile, déposer une longueur de laine enrouler pour réchauffer la terre. À l'ouest protégé, placer une tranche de pain frais pour nourrir la terre. À l'est exposé, placer une roche pour protéger la terre. Au sud fertile, verser un plein bol d'eau pour renouveller la terre. Lorsque ceci est fini s'en retourner et revenir au milieu de la nuit. À la lumière de la lune, attacher une longueur de corde 3 fois autour du majeustueux tronc de l'arbre, en laissant deux mètres de surplus. Ceci va exploiter et concentrer l'énergie de la terre et du ciel. Tenir le bout de la corde solidement avec ses deux main en se tenant face à l'arbre. Vous êtes maintenant relier à l'esprit de la terre. Adressez-vous aux quatre vent de la façon suivante : " Vent du nord, vent du sud, vent de l'est, vent de l'ouest, souffle à travers moi en cet endroit remplie du pouvoir de la terre. Accorde moi cette grace. " Répeter cette phrase trois fois. Si d'autre personne font ce rituel avec vous donner leur ensuite la corde sans la faire toucher à terre. Lorsque tout le monde à terminer, enrouler la corde autour d'une branche de l'arbre de sorte quelle ne touche jamais à terre et partir. Revenez ssouvent à cet endroit pour méditer car c'est le coeur de votre magie, votre terre sacrée.

Pour obtenir des faveurs :

Pour obtenir les faveurs convoitées cueillez pendant le jour et l'heure du soleil trois feuilles de laurier sur lesquelles vous écrirez ce psaume : " ecce quam bonum et quam incundum ". Placez les ensuite dans un récipient en terre cuite, recouvrez les d'huile et faites-les cuire. En oignant votre visage de cette substance, vous obtiendrez les faveurs demandées.

Pour démasquer une sorcière :

En regardant dans le visage de la prétendue sorcière, proférez ces parole : " Piroclitus Médiator , Agnus Ouis et alpha . Per nomina istius impero vobis demonibus, qui nabetis pactum cum illa ut detis minisignus habetis potestatem super eam. " Si votre soupçon était fondé, vous verrez la sorcière démasquée essayer de s'enfuir ou changer l'expression de son visage."

Pour assurer la prospérité d'une maison :

Aller cueillir, juste avant les moissons, 28 épis de blé dans les champs, puis les liers en quatre gerbes de sept épis chacune. Faire une croix avec les gernes en les liants à l'aide d'un ruban, les épis se trouvant aux extrémités de la croix. Le placer sur un mur orienté à l'est. D'une année à l'autre renouveller les gerbes et ne pas oublier de brûler ceux de l'an passé.

Rituel de protection :

Placez 2 chandelles blanches à l'arrière de l'autel ou de ce qui en tient lieu, chacune à une extrémité. Placez une chandelle bleu à l'avant, face à soi. Les trois chandelles doivent former un triangle. Placez au centre une pierre (agathe , citrine ou jade). Allumez les chandelles. Allumez de l'encens (de préférence une odeur douce) et dites : « À tous les vents, du nord, du sud, de l'est, de l'ouest, je vous offre cette encens et que sa fumée s'élève vers vous majestueusement. » Prennez une pincez de romarin et laissez la tomber sur la flamme d'une chandelle blanche, sur l'autre, laissez tomber de la poudre de riz et sur la chandelle bleu laissez tomber des pétales de roses émietté et dites : « À toi feu farouche et purifiant j'offre ces herbes pour nourrir ta puissance infinie. » Prennez une pincer de sel de mer et la déposer sur la pierre en disant : « À toi eau, source de vie, je t'offre cet enfant arraché de ton lit. » « À toi, terre nouricière, j'offre cette pierre d'une beauté inouï, pour que tu me garde en ton coeur comme ton enfant chéri. » Déclarez maintenant en écartant les bras : « À vous, éléments de mort et de vie je rend hommage humblement, avec ces modeste présent, gardez moi de la méchanceté des hommes et des affres de vos tourments, tant que sur moi je porterai ce talisman, je vous en serai éternellement reconnaissant. » Laissez les chandelles se consummer entièrement et gardez la pierre utilisée comme talisman.

Pour détourner une personne :

Prendre un crapeau avant soleil levé ou parès soleil couché; lui fourrer (avant ou après le soleil) un morceau de camphre dans la gueule avec une broche de bois ou de fer, un clou même; lui enfiler mâchoires avec la dite broche; lier les mâchoires avec un fil et le pendre dans la cheminée assez haut pour qu'il ne soit pas vu. En faisant ce qui précède, depuis le commencement jusqu'à la fin, dire : "Je t'en veux N., je veux que tu crèves, toi qui fais du mal. Contre toi, une fois vassis, etc". Faire une neuvaine.

Contre un coup d'épée :

Avant d'aller vous battre, écrivez sur un ruban, de n'importe quelle couleur les deux mots : Buoni jacum; serrez-vous le poignet droit avec ce ruban, défendez-vous et l'épée de votre ennemi ne vous touchera point.

Pour faire rendre les objets volés :

Faire brûler une bonne poignée de rue et une autre de savate, et dire le " Je crois en Dieu" trois fois, en faisant le signe de la croix avant et après.

Pour rompre et détruire un sort :

Prenez un coq noir, fourrez lui trois gouttes d'eau bénite dans le bec et pendez-le par les pattes dans un grenier où vous laisserez trois jours francs. Ce temps écoulé, prenez-le par les pattes et enterrez-le dans le fumier chaud d'un toit à brebis, en ayant bien soin que personne ne puisse aller le retirer. Le maléficiant tombera malade, et mourra de langueur au bout de six mois ou un ans. En faisant les opérations ci-dessus prononcez les paroles que nous avons déjà fait connaître : Contre un tel ou une telle, une fois vassis, etc ... - Prendre bien soin de fermer le grenier à clef pendant que le coq y sera.

Pour rétablir la paix entre les gens qui se battent :

Ecrivez sur le tour d'une pomme : " haon ", et la jeter au milieu des combattants.


Pour faire souffrir une personne :

Opérer le dernier vendredi du mois, la matin, à jeun. Prendre un morceau de lard gras, gros comme un oeuf; le piquer d'épingles (une trentaine environ, sans les compter) en disant les paroles connues : "Une fois vassis atatlos vesul atcremus, verbo san herbo dibolia herbonos." Mettre dessus deux branches de rameaux bénits en croix, et enfouir le tout dans un terrain non cultivé.

Pour obtenir des réponses :

Tout d'abord vous devez avoir plusieurs questions importantes auxquelles vous voulez trouver une réponse. Peu avant minuit disposez 13 chandelles noires en cercle assez grand pour pouvoir y entrer assis 2 fois. Prendre deux coupes transparentes et les remplir d'un liquide rouge semblable à du sang. Asseyez-vous dans le cercle et posez une feuille de papier complètement blanche devant vous. Placez les coupes de chaque côté de la feuille. Avec une aiguille piquer le bout de votre doigt et déposer une goutte de sang dans chaque coupe. Trempez l'aiguille dans la coupe à votre gauche et servez vous en pour tracer un pentacle autour de vous, à l'intérieur du cercle. Trempé l'aiguille dans la coupe de droite, tracez une porte sur la feuille blanche et inscrivez-y le chiffre 13. Sous la porte inscrivez 13 questions et numérotez-les. Lorsque sonneront les douze coup de minuit frapper 13 fois sur la porte rouge. Si vous avez exécuté le tout correctement les coupes devraient se remplir de sang, éclater et les réponses à vos questions apparaître en lettre de sang.

Le maléfice de l'oeuf du coq :

Pour frapper quelqu'un de sa malédiction. Après avoir écrasé l'oeuf de coq, on remplit un des morceaux de sa coque avec des gouttes de rosée d'une épine blanche recueillie à l'aurore, puis on l'expose aux rayons du soleil. Quand l'astre du jour a bu la rosée, la personne désignée est frappée d'un mal subit et inconnu, qui la dessèche, et, malgré tous les remèdes, elle dépérit lentement.

L'envoutement de haine :

Prendre un crapaud vivant et le lier avec des cheveux que l'on c'est procurés d'avance. Après avoir craché sur ce vilain paquet on l'enterre sous le seuil de son ennemi, ou en tout autre endroit qu'il fréquente tous les jours par necessité. Plus la personne foulera de son pied la charge, plus celle-ci deviendra néfaste.

Invocation du diable :

Au centre d'un cercle magique, au douzième coup de minuit, récitez ces parole : " Lucifer, je te conjure de quitter l'endroit du monde ou du ciel où tu te trouves présentement, et te commande, et te contrains par la puissance du grand Adonaï , Elohim, Aagla de venir répondre à haute voix à ce que je te demanderai et que tu ne pourras me refuser ".

Pour se venger d'un homme parti vers une autre :

Le jour des Bures, allumer un bûcher de sa propre main. Faire une effigie de l'homme en paille et en osier et la jeter au feu en pronoçant ces paroles : " Mahhe pèce, t'és préféré in aute qué mi qui sos té fehhnotte ? Eh bé, mi je m'fous de ti . Breûle, breûle donc, jusqué le drrère brin ! Qué j'te voisse plus dans mes eux; qué j'poïesse donner mé main à in aute sans regret ! " Mauvaise pièce, tu as préféré une autre ( femme ) à moi qui suis ta fiancée ? Eh bien, moi, je me fiche de toi. Brûle, brûle donc jusqu'aux dernier brin ! que je ne te voie plus devant mes yeux; que je puisse donner ma main à un autre sans regret ! " Ce rituel permet de chasser l'ingrat de son coeur et de le punir d'une manière qui peut sembler approprié à la jeune fille et qui varie selon l'intensité de l'exécution.