mardi 4 décembre 2007

Erik, le ti louloup na moi


Kikou a toi erik, t un ti cheri damour, un pti bouchon qu'on trouve que rarement et qu'on aime a aimer t un louloup damour qui ce fiche des stereotype et qui aime la vie comme on aime le chocolat. lol et oui c'est levidence....





suite o prochaine episode lol a plus les louloup

moi,moi,moi lol o jvous enmmerde moi ok !!!!

Moi, Moi, Moi


et oui je maime et alor c koi le probleme jai bien le droit de maimer non ....!!!!

lundi 3 décembre 2007

jadore le sex i wanna fuck you

Depuis pas mal de temps, j'ai une douleur à l'épaule. Pas une grande douleur, mais un mal lancinant qui gène. Une de mes collègues m'a conseillé d'aller consulter son ostéopathe. Ne connaissant pas cette catégorie médicale, elle me donne quelques exemples de douleurs qui sont passées après quelques visites chez ce praticien. Par contre, ce n'est pas remboursé par le sécu.

Je me dis « pourquoi pas » et je prend rendez-vous. Par chance, un de ses patients vient de se décommander pour le lendemain, sinon il me fallait attendre 15 jours.

Le lendemain, à l'heure prévue, j'entre dans le cabinet où il n'y a qu'un grand bureau, ancien avec quelques papiers et de bazar, et une table d'examen comme chez tous les médecins.

La lumière est feutrée, et l'ambiance n'est pas celle que l'on trouve en général chez un toubib. Mais là, ce n'est pas un médecin comme les autres, d'ailleurs ce n'est pas vraiment un médecin.

Je m'assieds devant le bureau, et il note sur une petite fiche mes coordonnées et le problème qui m'amène. Cela fait, il se lève et me demande de le suivre.

Je vais vers la table et il me demande de me déshabiller. J'ôte ma chemise et m'allonge torse nu sur la table.

« Non, non, enlevez le pantalon aussi » me dit-il.

Je réponds un peu gêné, « mais c'est à l'épaule que j'ai mal ».

« Oui je sais, mais le principe de l'ostéopathie réside dans le fait que l'on traite le mal à distance ».

Je ne saisi pas bien, mais je suis un peu gêné car je porte toujours des strings, car je trouve ça plus confortable qu'un slip dont l'élastique remonte tout le temps sur les fesses. Et en y pensant, aujourd'hui j'en porte un qui est vraiment mini, très échancré devant et juste une fine ficelle derrière. En plus, je m'épile et il ne me reste des poils qu'au dessus de mon sexe, et je crains qu'il s'en aperçoive, car ma peau est bien lisse jusqu'à l'aine.

« C'est embêtant, car je n'avais pas prévu et je ne porte pas des sous-vêtements adapté ».

Il me réponds, « ne vous inquiétez pas, dans mon métier, je suis habitué à tout voir ».

Je sens mon visage devenir tout rouge de confusion quand je tombe mon pantalon. Il me regarde m'installer sur sa table et me complimente sur ce que je porte.

« Il n'y a pas de quoi être gêné, moi aussi je porte souvent des strings, et celui-ci est très beau ».

Sa réflexion, qui se veut décontractante, me donne l'impression que ma figure va s'enflammer, tant je rougis.

Il commence à palper mon corps un peu partout, tout en discutant, en m'expliquant que l'ostéopathie est avant tout un art et une philosophie de la santé qui permet de rééquilibrer le corps et de mieux l'harmoniser, etc.

Ses mains touchent et palpent, la nuque, les bras, les pieds, les jambes, le dos etc. Bref un peu partout. Il appuie, tire, masse, tord.

A un moment, il lève en l'air ma jambe gauche et la pose sur son épaule. Avec sa main, il masse le dessous de ma cuisse, du genou vers la fesse. Je me contracte car c'est un peu douloureux. Il me demande de me détendre et continue. Maintenant, il masse ma cuisse sur la partie interne, du coté du genou jusqu'à l'aine. Je sens le bout de ses doigts qui s'arrêtent dans le pli de l'aine, et je trouve qu'a chaque passage, il reste quelques secondes de plus à cet endroit. Je ne peux pas m'empêcher d'être troublé par cet attouchement médical.

Il me sort de mes questions en me reposant la jambe et en levant l'autre pour la même raison.

De nouveau je sens ses doigts s'arrêter dans le pli de l'aine, mais là, ils poussent un peu plus loin que tout à l'heure, et je sens le contact avec la peau lisse de mes couilles toutes proches.

Les idées s 'embrouillent dans ma tête et bien involontairement, je sens mon sexe qui commence à se gonfler. Je ne bande pas, mais ma queue à pris du volume. Je suis gêné et essaye de me concentrer sur un tableau horrible qui est au mur pour penser à autre chose.

Il repose ma jambe, et me dit que mon quadriceps est très tendu et qu'il va le masser pour le décontracter. Il s'enduit les mains d'une huile de massage et en verse sur la cuisse.

Il commence un massage énergique toujours de bas en haut. Il m'explique qu'il faut toujours masser ainsi, pour faciliter le flux du sang vers le coeur.

Plus il masse, plus ses doigts entrent en contact avec mon aine. Il me demande d'écarter un peu les jambes pour ne pas tacher le tissus. Une fois sur deux, le bout de ses doigts pénètre un peu plus sous le tissus, tout en continuant de discuter avec moi comme si de rien n'était.

J'arrive de moins en moins à suivre se conversation, et je sens ma queue qui monte vers mon nombril et qui rempli mon string. Je me dit qu'il ne peut pas ne pas s'apercevoir que je bande, et je doit être aussi rouge que le pot à crayons qui est sur son bureau.

Tout à coup, il me lance l'air étonné : « mince, je crois que j'ai mis un peu d'huile sur votre slip, je suis désolé. Il faudrait l'écarter encore un peu, pour ne pas le tacher plus ».

Tout en disant ça, il tire sur l'élastique au niveau de l'aine, et me demande de le tenir comme ça pour qu'il ne le salisse pas. Je tient l'élastique en l'air, et je m'aperçois bien qu'il doit voir une partie de ma queue dressée, mais je suis maintenant très excité et ce jeu commence à me plaire. 3 ou 4 massages après, ses doigts montent jusque sur la base de ma queue, plusieurs fois de suite Comme je ne dit rien, il va plus loin, et je sens ses doigts monter le long de ma cuisse, passer sur l'aine sans s'arrêter, et monter sur ma queue. Là, il laisse sa main dessus et recommence plusieurs fois de suite. Mon string est plein d'huile.

Il me dit « oh, j'en ai mis partout, il faut le tirer plus que ça ». Joignant le geste à la parole, il tire sur l'élastique et dénude complètement mon sexe.

« C'est mieux comme ça, non ? »

Je réponds un timide « oui » et il ne me masse plus la cuisse mais ma queue. Il découvre que je suis tout épilé et me complimente. Il me branle avec une grande douceur, et tout en changeant de main, il m'enlève mon string. Je suis entièrement nu devant lui, la queue prête à exploser, et il me caresse maintenant partout. Sa main pleine d'huile passe sur mon gland, caresse ma queue, mes couilles, et remonte jusqu'à mon anus. Son doigt huileux y entre sans aucun problème et fouille mon cul, puis deux puis trois doigts. De son autre main, il attrape un essuie-tout pour essuyer ma queue. Dès que c'est fait, il la prend dans sa bouche et me suce divinement. Je vois ma queue entrer et sortir de ses lèvres pendant que ses doigts me pénètrent le cul.

Pendant ce temps, je ne reste pas inactif et je lui défait son pantalon, et je m'aperçois qu'il porte lui aussi un string, que je baisse pour attraper son sexe, qui n'est pas très gros, mais qui est décalotté comme le mien. Rapidement, je passe des caresses manuelles aux caresses buccales. Il est debout à coté de moi et nous nous suçons mutuellement.

A un moment, il s'écarte, enlève son pantalon et son string, puis va vers son bureau, pour en revenir avec des préservatifs. Je comprends au il veut en venir, mais je ne suis pas trop inquiet, car j'ai l'habitude de me branler avec un gode entre les fesses. Par contre je n'ai jamais essayé avec une vraie queue.

Il enfile une capote et m'attrapant par les jambes, il m'amène au bout de la table, et place mes jambes sur ses épaules. Je me laisse faire, docile, et je sens son gland qui pousse sur mon petit trou. L'huile de massage aidant, il me pénètre sans aucune douleur ni aucun problème.

Rapidement, il est au fond de moi et me fait l'amour, comme on le fait à une femme, sauf que la femme, aujourd'hui, c'est moi. Il sort presque totalement de moi et entre de nouveau d'un seul coup, tout en me masturbant. Je le vois se tendre, et il jouit dans mon cul, heureusement au fond de sa capote.

Il se retire, enlève son préservatif, et me suce. Puis il m'enfile un nouveau préservatif, et me demande de me lever.

Il prend ma place et place lui même ses deux jambes sur mes épaules. Je me baisse un peu car j'ai envie de le sucer, même si sa queue est encore couverte de sperme. Alors que son sexe diminuait après avoir jouit, je le fait rebander. Et en même temps, je le pénètre avec mes doigts pour faciliter le passage.

Je me redresse et appui mon gland sur sa rosette. Ca rentre sans effort. Je suis bien dans ses entrailles, et je suis tellement excité, que je jouis en quelques aller et retour. Je reste en lui quelques minutes, en m'allongeant sur lui pour embrasser son torse.

Nous nous sommes séparés, non sans avoir pris un autre rendez-vous. Lorsque ma collègue m'a demandé le lendemain comment ça s'était passé, je lui ai répondu que c'était génial. Je n'ai pas menti !

Mike.

erotiko hum jadore

J’étais alors dans le train qui menait à Genève en partant de Paris, et il n’y avait personne dans le wagon dans lequel je me trouvais à part quelques anglais excentriques qui lisaient des revues pour adultes pendant que les autres dormaient; ils devaient être six…

J’ai remarqué d’ailleurs, et cela m’a amusé, à défaut de m’exciter réellement, qu’un jeune homme d’une petite vingtaine d’années aux cheveux teintés de toutes les couleurs, avait égaré sa main dans la culotte que serrait le jean d’une des petites anglaises qui l’accompagnaient, tous deux assis à l’écart de leurs copains…

Je souris, et le train s’arrêta à une petite gare de province… Alors mon regard se porta sur un jeune garçon d’à peu près mon âge, à la petite vingtaine d’années, qui allait monter dans le train, sac énorme au dos que portaient ses petits bras de mec bien foutu, barbe fine et cheveux bruns… Je commençais à me faire de jolis films, et je priai pour qu’il monte dans mon wagon… à l’avant du wagon, les anglais dormaient toujours mais le garçon avait arrêté de doigter la jeune fille, et elle s’était endormie sur lui.

Le garçon que j’avais en vue entra soudainement, passa les anglais, arriva à la partie des places par deux dans lesquelles je me trouvais, et souleva son sac de toutes ses forces pour le ranger… Son t-shirt blanc moulait parfaitement son corps et laissa entrevoir la ligne de poils qui descend du nombril au paquet, et cela me donna une érection légère… Son jean bleu ciel lui donnait des airs de camionneur, alors qu’il avait un visage des plus raffinés que j’aie pu admirer. Entourée par les poils bruns et courts de sa barbe, une bouche parfaite m’apparaissait, qui me donnait envie dingue d’y mettre ma langue ou plus encore.

Alors il s’assit à l’une de deux places opposées -par la largeur du train- aux miennes, et cela pour mon plus grand plaisir. Il était terriblement sensuel, sexy, tout ce que vous voudrez, et dans ma tête les films s’enchaînaient en même temps que le train repartait, enfin.

Je commençais à le mater furieusement et il le remarqua, alors il me sourit, et mon cœur s’accéléra… J’étais du coup totalement perdu. J’ai pourtant continué à le mater quelques minutes et il en profitait pour faire le beau. Ses gestes devenaient plus langoureux, il passait parfois une main derrière sa tête ou son pouce dans sa braguette ouverte, et cela me faisait bander. Je n’ai remarqué aucune érection de son côté car il devait avoir la queue relevée de façon à ce que son gland soit le plus proche possible de son nombril, voulant certainement, lui, cacher le phénomène. L’excitation me tordait le ventre quand le train s’arrêta dans une autre gare, les anglais descendirent, et un blondinet entra, 18 ou 20 ans, grand, élancé, pourtant viril, bandant -en somme-.

Il s’assit à deux rangs devant nous, à un compartiment pour quatre, et de cet endroit, il pouvait arriver qu’il voie notre jeu… Mais nous étions deux, lui était seul, il n’aurait rien dit, et à vrai dire il ne faisait pas complètement hétéro.

Je n’abandonnai pas pour autant d’échanger regards et attitudes sensuelles avec le brun, et il me fit un petit signe, indiquant qu'il aurait été intéressant de brancher à deux le blond, ce que nous fîmes. Il commençait à le regarder avec insistance mais rien ne se passait, alors il se leva et pendant que le train repartait déjà, il me fit signe de le suivre.

Et il m’emmena dans les chiottes, propres (elles venaient sans doutes d’être lavées) et suffisamment spacieuses pour deux personnes, de ce TER. Le blond se retourna sur son siège et nous regarda avec un regard doucement excité quand nous passions la porte, et je lui fis un signe de la tête, mais il ne bougea pas. Sûrement n’osait-il pas.

Je fus alors vite consolé quand mon beau brun me prit la bouche après avoir fermé la porte avec précaution… Sa barbe légère et travaillée avec précision et propreté me caressait le visage et sa langue chaude venait rencontrer tendrement la mienne. Il était doux comme un agneau et je bandais comme un fou, et lui aussi. Je lui mettais la main dans le pantalon pour tâter son petit cul ferme, et il me caressait le dos avec frénésie. Alors je sentis vraiment son sexe ferme contre le mien, séparés par nos jeans. Il devait faire 18 ou 19 cm, et ça me plaisait.

Lorsque l’on frappa à la porte, nous dûmes nous calmer et il demanda de sa voix grave que je découvrais alors : « Qui est-ce ? ». On nous répondit : « -C’est le blond de votre wagon… les mecs, je peux entrer ?.. » Et il entra avec précaution… nous étions un peu serrés tous trois dans ces chiottes mais déjà le blond vint se mettre entre nous, et le brun avait son cul contre son sexe, pendant que je commençais à lui rouler une pelle, et il savait y faire…

Alors pour ne pas mettre mon copain initial à l’écart, nous nous retrouvâmes tous trois bouches à bouches, et chacun goûtait tendrement aux langues des deux autres, puis nous enlevâmes nos t-shirts et jeans et à travers nos caleçons ou boxers, nous nous massions le paquet… Le blond me caressait les couilles, ayant alors mis sa main dans mon boxer et je commençais à branler leurs deux queues en même temps que nos baisers continuaient… Celle du blond se laissait aller tranquillement puis plus ardemment à mes va-et-vients, tandis que le sexe du brun commençait déjà à battre sous les pulsations de l’éjaculation en route. Alors je me suis arrêté un peu avant de les emmener au bout, et nous retirâmes nos derniers habits que l’on posa sur la cuvette fermée.

Nous étions tout nus, le corps du brun était parsemé de poils foncés sur tout son petit corps viril et ses poils pubiens étaient ondulés et nombreux, tandis qu’il fallait plus deviner ceux du blond, ou les caresser pour remarquer enfin cette fourrure légère et douce… Cela m’excita et je m’accroupis pour lui sucer la queue avec bonheur… Elle rentrait parfois tellement dans ma grande bouche que mon nez rencontrait parfois ses poils, et enfin, il poussa de petits cris, courtes respirations viriles, approchant le « han ».

Le brun nous matait en se masturbant pour s’occuper, et je donnai alors ma bouche à son sexe quand le blond éjacula d’un sperme chaud, et sa bite battait sous les pulsations de l’éjaculation. Et je léchais la queue du brun, remontant parfois à son gland rose et bombé, pendant que le blond avait trouvé un rangement en hauteur pour nos habits, et il s’assit sur la cuvette. Je vins m’asseoir sur lui et le brun n’avait pas encore éjaculé mais il semblait souffrir doucement sous les symptômes d’une éjaculation proche, ce qui se passa quand il me vit assis sur le blond en train de lui lécher un téton. Puis je l’embrassai amoureusement.

Je pris sa place sur la cuvette et il se mit par terre, à quatre pattes… et il y avait la place pour ça. Alors le brun comprit et prenant un peu de salive, il la disposa avec caresses sur l’orifice imberbe du blond, et commença à le pénétrer. L’autre poussait des soupirs longs et douloureux et l’autre soufflait d’une voix douce « Ho c’est bon » plusieurs fois de suite… Au bout de quelques minutes, le blond semblait parcouru de frissons agréables et il souriait à présent.

Tout à coup, tous deux s’excitèrent follement et je compris que le brun crachait son jus. Ils retombèrent à genoux, épuisés, se séparant et me regardant. Je me sentis un peu mis à l’écart mais tous deux prirent bien soin de moi, lorsque le brun, assis sur la cuvette, commença à me pénétrer ce qui me fit éjaculer au bout de plusieurs minutes sur l’épaule du blond qui avait juste eu le temps de retirer sa bouche de mon sexe.

Puis il reprirent tous deux, je sentis la queue énorme du brun battre en moi puis éjaculer: il poussa un cri et il s’accrochait avec ses bras à mes épaules et me tâtait le ventre et les pectoraux (que j’avais en jolie forme) pendant que le blond me caressait les cuisses puis les couilles en même temps qu’il jouait tendrement et fortement avec ma queue encore chaude et tendue à son maximum, et il devait alors se reculer un peu…

Tout cela continua encore de longues minutes lorsque 20h sonna, et le train devait arriver au quart à Genève. Nous nous rhabillâmes donc, fatigués et rassasiés et je me passai un coup d’eau. Il n’y avait pas eu d’arrêt depuis que le blond était monté, il n’y avait donc plus personne dans le wagon et nous n’eûmes pas de gêne alors à sortir tous trois. Personne ne nous attendait…

Sur le quai, enfin, je leur demandai alors où ils allaient… Tous deux resteraient sur Genève pour quelques semaines, nous échangeâmes alors nos numéros de téléphone pour nous revoir et nos cœurs battaient vite.

Gabriel.

histoire porno ou erotiko rigolo

a vos lunettte mes ptites kekettte hisoitre de rimes mdr

J'ai perdu de vue Mimi (appelons-le ainsi), depuis plus de trente ans, au début de nos études universitaires. C'était mon copain d'enfance depuis la maternelle et, jusqu'au bac, nous avions tout partagé : confidences, promenades, lectures, dragues, argent de poche, joies et peines. Jamais nous n'avions eu de dispute, parce qu'il était enfant unique abandonné par son père et que je faisais, en quelque sorte, office de frère, de copain et parfois même de père. Pour cette raison, il n'y a avait jamais de heurts entre nous, chacun veillant à garder pour l'autre, un respect tacite. De mon côté j'étais d'un caractère indépendant, farouche, et son amitié m'apportait le soutien dont j'avais besoin, à chaque conflit avec les camarades de classe, au football ou dans la rue.

Mimi avait plus de finesse que moi, aussi bien dans les études, que dans la drague ou dans sa façon d’approcher les groupes adolescents. J'avais l'air plus costaud, un peu autoritaire et protecteur mais en réalité c'était lui qui menait notre... j'allais dire couple. Il savait parler aux filles, les apprivoiser, les séduire et les retenir. Moi j'étais, certes, réputé beau garçon, mais elles me craignaient, quand elles ne me fuyaient pas. Il m'avait appris qu'il ne fallait pas être exigent tout de suite.

Mimi me disait qu'il fallait s'entraîner sur les moineaux, ces oiseaux mi sauvages mi domestiques, si semblables aux femmes par leur comportement, vivant aux fenêtres des humains, dans les rues bordées d'arbres, mais se méfiant tellement des bipèdes. Alors je me suis mis à nourrir les moineaux à ma fenêtre, j'ai appris à les regarder longtemps sans bouger, sans même respirer. Il en est de même pour les femmes que pour les moineaux : il faut qu'elles oublient de se méfier pour tomber dans vos bras. Ensuite Mimi m'apprit que, lorsqu'on veut garder sa femelle, il faut rester gentil, commode, serviable tout en affectant d'être détaché, ne jamais manifester sa passion, même s'il elle vous brûle de l'intérieur.

Nous avions 19 ans tous les deux lorsque, pour mon anniversaire, il m’a offert L'art d'aimer d'Ovide, une lecture qui m'a marqué, que je comparais plus tard, alors que je poursuivais mes études de sciences politiques, à l'équivalent du Prince de Machiavel.

Mimi m'a appris que les femmes sont des êtres humains, identiques aux hommes, et qu'il ne servait à rien d'afficher son machisme. Mais il m’avait également enseigné qu'elles étaient d'une autre espèce et qu'il fallait toujours rester ''diplomate'', sachant que des hostilités peuvent surgir à n'importe quel moment, si on se laisse aller à découvrir, la moindre trace de machisme.

Cette complicité d'adolescents livrés à eux-mêmes, en rupture avec l'autorité parentale et en désaccord avec la société, avait fait de nous des hommes. Mimi a été ma famille, plus encore, mon double. Mais nos chemins devaient diverger. Mimi choisit une carrière militaire. L'ayant perdu de vue, j'avais perdu un précieux complice et un doux ami, plein d'humour et de gentillesse.

Un jour, par un hasard étonnant, je suis tombé nez à nez avec Mimi dans le hall d'une gare. Nous nous sommes tout de suite reconnus et, sans hésiter, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre en laissant tomber nos bagages par terre. Il m'embrassait et je l'embrassais très fort, puis nous nous sommes un peu calmé et sommes partis lentement vers le café d’à côté, en parlant nerveusement, la main dans la main. Deux longues heures nous ont permis de nous mettre à jour, après une séparation qui me semblait une éternité. Il venait de prendre sa retraite, libéré suite à un accident qui l'avait légèrement handicapé d'un pied. Nous nous sommes promis de nous revoir et de renouer de nouveau et je l'ai invité à venir me voir souvent à la fac où je travaillais.

Après l'avoir assailli de question, j'ai appris qu'il s'était marié avec une cousine lointaine qui lui a donné des enfants, mais il m'a expliqué qu'il avait cessé de ''courir les jupons'' puis, se mettant à rire, il me lança des propos assez ambigus et j'ai cru comprendre qu'il avait vécu de nouvelles expériences, d'un autre type. De plus, il a été si câlin, si caressant, si doux, qu'en rentrant chez moi, je me suis posé une foule de question et je me suis promis de le ''tester'' dès notre rencontre suivante.

Je soupçonnais mon ami d'enfance de s’être trouvé une nature de bisexuel. En effet, quand je l’ai revu, j'ai trouvé Mimi, toujours aussi câlin et doux. Il était chez moi, assis non pas en face mais à côté, ma main dans sa main. Il me parlait de ce qu'il avait fait, je racontais aussi ma vie depuis notre séparation, non sans une certaine gêne comme si chacun de nous voulait aborder un sujet trop délicat.

J'ai décidé alors de lui faciliter la tâche. Je me suis mis à dire que j'aurais aimé faire une carrière militaire, que la vie dans la promiscuité masculine m'aurait attirée, qu'une éducation à la spartiate offrait des joies et même des jouissances étonnantes, et bien d'autres choses dans le même genre.

Il m’expliqua que les femmes avaient fini par l'exaspérer, qu'elles le fatiguaient désormais, qu'il s'en était lassé. Mimi s'est alors épanché plus franchement, sa main en sueur me serrait les doigts plus fort et c'est ainsi que saisi par une soudaine audace, j'ai enlacé son cou et me suis mis à l'embrasser abondamment, sur les joues, sur les yeux, puis encore sur les joues, sur le menton et sur les lèvres, en insistant. Voyant qu'il ne me repoussait pas, j'insistai encore et encore, puis en mouillant mes lèvres avec ma langue, mes baisers se firent plus profonds jusqu'à vaincre, enfin, toute résistance pudique.

Maintenant nous nous aimons sans retenue, fiers de nous offrir l'un à l'autre, de vrais amants, heureux de leurs corps partagés. Nos langues s'entre lassaient et se nouaient dans nos salives mêlées, les mains de Mimi se promenaient sur mon dos, sur mes fesses, puis sur mes cuisses jusqu'à venir me tâter les couilles et le membre qui, flatté, prenait du volume en conséquence.

Nos caresses et nos baisers étaient, d'abord, guidés par la tendresse et l'amour dont nous nous étions sevrés tous les deux pendant longtemps et qui s'exprimaient enfin après ces retrouvailles brutales. Il était impossible de s'arrêter à ce stade tellement c'était beau, émouvant et... naturellement voluptueux. Nous voilà déjà nus, dans le lit, dans des ébats de quinquagénaires encore en bon état. Je découvrais le sexe de Mimi pour la première fois. Il a bien rempli ma bouche et déversé une première giclée chaude, au goût d'ail, qui est allée tout droit dans mon ventre. Je sentais cette lave blanche couler en moi lentement, jusqu'au fond de l'estomac. Je me suis mis ensuite à genoux, la tête contre le lit, les fesses ouvertes en l'air, en l'invitant à me dépuceler l'anus où jamais aucune verge n'entra, mais que j'ai exercé depuis longtemps, avec tout sorte de godes, durant de longues séances de plaisir solitaire. Je réalisais enfin l'un de mes fantasmes de branleur invétéré.

Mimi s'y était pris merveilleusement bien pour me pénétrer. Après avoir déposé, à l'aide de sa bouche, une rasade de salive sur la marguerite épanouie au fond de mes fesses bien rondes, il posa soigneusement le gland, en poussant légèrement avec son arrière train. ''Vas-y doucement, mon amour !'', lui disais-je, mais c'était surtout pour prononcer les mots ''mon amour''. Et lui, d'entendre cela, il soupirait d'aise et de bonheur et devenait si caressant, si doux et tendre, mais aussi si viril et si énergique. Sa verge aux dimensions respectables allait et venait en toute liberté au fond de ma cavité, grande ouverte maintenant. Son pubis et le haut de ses cuisses heurtaient mes fesses bombées et nous râlions de plaisir à l'unisson. Je lançais des ''oui'' et des ''encore'' et d'autres mots qui se perdaient dans le vertige délicieux qui m’enivrait. L'ardeur de Mimi était décuplée par l'inattendu de la situation, l'incroyable intimité qui nous a réuni et que jamais autrefois, nous n'aurions imaginée. Je hurlais: ''Mimi, mon amour, mon homme, mon maître, possède-moi, nique-moi encore... encore… je suis ta chose, ta salope, ta pute, nique-moi!..." Et Mimi de me donner la réplique, dans un jargon plus ou moins militaire qui ferait rougir une patronne de bordel de campagne. Ce fut si viril mais si tendre aussi que bientôt une seconde giclée de sperme chaud allait déferler en moi, par le bas cette fois. Quand Mimi s'est retiré de moi, ma cavité était en feu, copieusement endolorie, avec une sensation de brûlure sévère comme si quelqu'un m'avait donné une fessée pour calmer une agitation de gosse capricieux. J'étais comme un malade qu'on venait de guérir miraculeusement d'un mal pénible. Je venais d'éjaculer encore sans effort, je ne savais plus si j'avais joui de mon sexe ou de ma fosse postérieure. Plein de reconnaissance, je me suis jeté dans un profond sommeil dans les bras de mon amant. Mon amant si beau, si viril qui, de toute façon, ne me quittera plus longtemps, car il n'y a pas que le sexe qui nous lie mais je le garde pour son sexe, il est à moi.

laurent


C'est mon ti louloup na moi laurent ji tadore bpbcpbcpbc




commen il est bogossssss